Ni dieux, ni maitres …. ces mots ne sont pas le propre des « anarchistes ».
Ce devrait être la base du comportement des humains : ni dieu, ni maitre, ni dominant, ni soumis !
Les problèmes de fond sont
1 – la recherche de « pouvoir » par beaucoup. Ça va des micro-pouvoirs, voire des nano-pouvoirs jusqu’à la recherche de maxi-pouvoirs en passant par tous les intermédiaires possibles.
Pour illustrer, on pourrait parler du pouvoir sur « son » chien, les enfants, le, la, les conjoints les proches et moins proches. En plus ou moins grand nombre. Pour finir sur un « pouvoir » local, régional, national et mondial … le « gros lot » !
Pouvoir s’exerçant au grand jour ou plus « discret ».
2 – la recherche de « modèles » par beaucoup. Beaucoup qui peuvent être ou ne pas être les mêmes que ceux qui sont en recherche de pouvoir. La notion de « modèle » est vaste. Ça peut être des « modèles » « politiques » : systèmes, pays, régions « communes », avec leurs grands et petits « chefs », leaders, guides, maitres…
Ou plus simplement une admiration pour des individus à divers titres : « artistes », « sportifs » , habitués des plateaux Télé, « youtubeurs » professionnels, bateleurs des réseaux « sociaux » etc etc
Ici nous nous efforcerons de penser par nous-même en observant la simple réalité qui nous démontre l’importance de n’avoir « Ni dieux, ni maîtres » !