Quelques fils directeurs
Payer l’usage de son logement à proportion de sa valeur et de sa durée de vie ». Ceci conduit à une contre partie pécuniaire en complet décalage avec les montants actuels : soit 2 à 10 fois moins qu’aujourd’hui.
Le principe de base devrait être que chacun puisse être propriétaire de son logement.
Les aides éventuelles doivent être principalement réservées à l’accès à la propriété du logement principal.
Il est à noter que les « cadres politiques de gauche » parlent beaucoup de logements sociaux mais, en général n’y habitent pas.
Nécessité de briser la spéculation immobilière par des taxes dissuasives sur d’éventuelles plus valus immobilières.
Les revenus locatifs doivent être plus imposés que les revenus du travail.
Taxes dissuasives sur les logements vides en zone urbaine augmentant fortement chaque trimestre.(mesure applicable immédiatement).
Rapidement le propriétaire doit trouver un locataire et donc baisser le loyer ou vendre.
Double avantage : moins de logements vides et donc plus de gens mieux logés, pression à la baisse de l’ensemble des loyers.
Poursuivre une politique de construction et d’acquisition de logements principaux, ce qui induit une plus grande difficulté à trouver des locataires et donc participe à la baisse des loyers.
– quelles zones constructibles, à quel prix (ôter la possibilité de faire la moindre spéculation foncière)
– quelle TVA sur quels matériaux
– statut des constructeurs
– impôts différents et très progressifs sur les revenus immobilier
– prêt à taux 0 (hors inflation) à très longue durée plus en rapport avec la durée de vie du bien (50 ans par exemple) par un organisme spécialisé (ça pourrait être la Poste qui doit totalement relever de la fonction publique).
etc…